Pour ce dernier jour à Tokyo, nous avons passé la matinée dans un endroit qui ne fait pas rever les touristes mais qui pourtant est bien necessaire … Une laverie automatique (ou Coin Laundry aka コインランドリー ). Nous n’avions guère emmené que l’équivalent d’une semaine de fringues et il était temps de laver tout cela. Heureusement, au japon, il y’a des laveries a tous les coins de rue, ou presque ! Il suffit de les trouver… Ce qui n’est pas forcément évident car elles n’ont pas de grands panneaux lumineux. Heureusement, il y’a google maps. Nous sommes allés a une toute petite (5 machines max), du coup, il n’y avait rien, meme pas de distributeur de lessive. Dans les plus grande y’a des mangas en libre service et des vendeurs de lessive. Après avoir été en acheter au 7/11 du coin, c’est parti.

japan

Alors pour ceux qui se demandent, au japon, y’a pas eu le choix entre whatmille programmes, y’avait que le lavage à froid. Tant mieux. La machine nous a couté 300yen (machine de 5kg) et dure 38 minutes (et pas 35, et pas 40, me demandez pas pourquoi). Comme j’avais rien a faire de précis, j’ai fait un tour dans le quartier. Dans un rayon de 50 mètres y’avait a peu près 8 distributeurs de boissons disséminés, alors j’ai comparé toutes les machines, pour finir avec du thé au lait chaud qui me faisait envie avant de me rappeler que le lait fait mal a bidou-sama.

coin laundry

Après les 38 minutes, un coup de retraitage de photos sur le macbook, c’est le sechage : 100yens les 10 minutes. Au final, on se sent un peu perdu, je vais vous l’avouer, mais si vous avez l’expérience de la laverie francaise, au moins ici c’est pas glauque et le public de la laverie c’est la mère de famille qu’a pas de place donc bon, on se sent carrément plus en sécurité qu’a la laverie de Blois (celle sur les quais est mega glauque…)

Après avoir mangé mon curry katsudon préféré en face de la gare d’Otsuka nous sommes allés a Shinjiku et plus particulièrement au Shinjuku Gyon, un jardin impérial grand et beau ou beaucoup de japonais s’étaient rendus ce jour là aussi. Nous avons pu y voir notamment des sakura en fleurs. Il faut savoir que les jardins public ferment tres tôt au japon (5h30 max) du coup, nous n’avons pas pu y attendre le coucher de soleil. .. Dommage !

Après cete ballade reposante, nous sommes allés errer dans Shinjuku et nous sommes tombés totalement par hasard sur un magasin d’art. Mon coeur a du louper un batement car il y’avait des rayons ENTIERS de trames. Et tous ces Neopiko sur lesquels j’ai fantasmé tellement longtemps. Je ne comptais pas chercher du matos a dessin au japon, mais tomber dessus, la, comme ca, je pouvais pas resister, c’est comme me lacher dans un Sephora ! (Mais un US ou y’a tout ce make-up qu’on a pas en France). J’ai tourné dans le magasin en m’extasiant sur tout, et en notant l’adresse (ou les coordonnées GPS dans Tripadvisor) pour revenir un peu avant la fin du voyage et TOUT ACHETER. Ou presque.

Traaaaaames ! Trames everywhere !
Traaaaaames ! Trames everywhere !

Pour notre dernier repas de cette partie du voyage, nous sommes allés manger au Shirokuma Café à Takadanobaba. Demain nous attendait ZE aventure : le départ à Kyoto. En attendant, j’vous met les tofs du Shinjuku Gyoen.

 

shinjuku shinjuku shinjuku shinjuku takadanobaba

5 comments on “Seraf au japon #7 :”

  1. Wow, ça me donne de grandes envies de voyages tout ça…

    Dis, je me sens très bête mais même en aiment le dessin et tout, je n’ai jamais entendu de parler de trames que l’on peut acheter et utiliser comme ça, c’est quoi au juste? des sortes de pochoirs, des choses que l’on peut recoller sur ses dessins…?

  2. Bonjour !
    Merci beaucoup pour ces infos, je suis actuellement à Tokyo, je pars samedi et je cherche en vain ce magasin d’art vendant les trames, aurais-tu l’adresse ou saurais-tu me détailler comment y aller ? Merci :)

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